Live at Le Quecumbar
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SONGLINES UK – 01/02/08
Live at Le Quecumbar
There’s a strange mix of the rather naff and the adventurously discordant in Gypsy jazz – something that Django Reinhardt almost seemed to acknowledge in his wry smile in photographs (one of which peeks out avuncularly over the musicians’ backs on the CD’s sleeve). And it’s there in spades on ‘Bolero’, one of this album’s many irresistible moments: it’s cape-twirling pomp, but doesn’t take itself seriously; it’s dissonant but whistleable
So it’s unfair that Gypsy jazz is rarely heard outside car adverts or wine bars. Especially in the case of the formidable guitarist Angelo Debarre and his swashbuckling quartet. You can’t help but share the crowd’s audible gasps of amazement and delight at the his lightening-fast fretboard flights o derring-do. His sideman, Christian Garrick, is no less impressive, slipping in the occasional bluegrassy slide or two on ‘Django’s Tiger’ and sawing thickly away on ‘Speevy’, a tune that manages to sound jaunty yet slightly queezy at the same time. Dave Kelbie and Andy Crowdy take a gentlemanly, self-effacing back seat, providing an unintrusive backing and the occasional solo that concisely says all it need to say.
The ensemble passages delight, both Debarre and Garrick scrabbling around like two mice racing each other. Every new solo seems to set itself new challenges; diving-bombing fiddle-runs and rattling guitar tumbles dare each other to try something a little faster and more fiddly next time. The speed and execution are expert, but it still sounds thrillingly like anyone could trip over themselves and flat on their face at any time. Not, of course, that they ever do.
MATTHEW MILTON
DJANGOSTATION FRANCE – 01/02/08
‘Live’ at the Quecumbar’
Oh, oh… Hyperactif, cet Angelo ! A peine sorti des feux de la rampe médiatique pour la sortie de son récent Parole de Swing, voilà que notre guitar-héros national replonge sous les sunlights de la renommée, britanniques cette fois, avec ce pétillant Live enregistré cet été en Albion.
Un nouveau disque, qui au delà de la qualité exceptionnelle du jeu d’Angelo est au moins indispensable pour deux autres bonnes raisons. D’abord c’est un disque “live”, enregistré au fameux Quecumbar londonien, haut lieu du jazz manouche outre-manche devenu en un temps record “la” scène incontournable de nos taquineurs de jambon nationaux partis conter fleurette aux anglaises. Et donc une chance pour tous (et pas seulement pour ces veinards de parisiens) de pouvoir apprécier la virtuosité exceptionnelle d’Angelo en concert ; d’autant que l’ambiance du club y est particulièrement déchainée, on les entend même casser des verres (de plaisir, on n’en doute pas…).
Et un album indispensable aussi pour le répertoire abordé ce soir là : jetez-y un oeil, (voire une oreille pour les plus audacieux), il n’est pas banal : hormis un Limehouse blues joyeusement déjanté, on n’y trouvera que des compositions de Django. Mais pas de celles qu’on entend le plus souvent : Vamp, Speevy, Impromptu, Féerie, Porto Cabello, Bolero (non, pas le Bolero troublant, le Bolero tout court…), My serenade… Tous ces magnifiques morceaux du génial manouche sont aujourd’hui largement sous-joués. Parfois même sous joués par Django lui même qui ne les enregistra pour certains qu’une seule fois… Et pourtant, quelles merveilles que ces titres aux harmonies souvent très modernes (certains datent de la dernière époque, la plus passionnante pour nombre de djangophiles…).
Angelo leur rend là un très bel hommage en se les accaparant et en les rejouant à sa propre manière, virtuose et inspirée. A ses côtés, le violoniste Chris Garrick, un des plus fins archets du Royaume déjà entendu chez Angelo ou chez Gary Potter, montre qu’il a du répondant et constitue un parfait alter ego au jeu du guitariste. Enfin, n’oublions pas la pompe enlevée de Dave Kelbie (quels tempis… !) et la contrebasse d’Andy Crowdy, qui a eux deux constituent la crème (anglaise) de la rythmique britannique.
Bref, un disque qui donne envie de passer le Channel pour y voir de plus près, et casser nous aussi quelques verres au Quecumbar !
God save the swing
STOCHE
L’ETUDES TSIGANES FRANCE – 01.03.08
‘Live’ at the Quecumbar’
Angélo Debarre quartet “Live at the Quecumbar” LEnregistré live au Quecumbar à Londres les 6 et 7 juin 2007, ce CD nous présente Angélo avec ses habituels complices d’Outre-manche : Dave Kelbie, guitare d’accompagnement, Chris Garrick, violon, et Andy Crowdy, contrebasse. Comme il ne s’agit pas d’un groupe réellement constitué, pas de compositions originales et quasi pas de répètes ; tout ce beau monde se retrouve sur les standards habituels ; sur les 13 titres on en retrouve d’ailleurs trois qui figuraient déjà sur le CD enregistré en studio en 2002 avec la même équipe. Conjuguant virtuosité, précision du phrasé et sentiment, Angélo est impérial, comme toujours (cf. son long chorus sur ” vamp “) et les anglais ne font pas de la figuration : rythmique très efficace, violoniste inspiré. Django est à l’honneur : ” Artillerie lourde “, ” Place de Brouckère “, ” Lentement mademoiselle “, ” Porto cabello “, ” Troublant boléro “… qu’Angélo porte à un haut niveau d’interprétation sans copier le maître. Bref, le frenchy est à l’aise dans toutes les formules instrumentales et celle là n’est pas la moins intéressante.
FRANCIS COUVREUX
BULLETIN DE HOT CLUB OF FRANCE – 01.04.08
‘Live’ at the Quecumbar’
Enregistré en public en Juin 2007 dans un club de Londres, ce CD montre que le quartet d’Angelo Debarre est l’un des tout meilleurs groupes actuels de musique manouche. Outre le chef à la guitare, la formation comprend un très bon violiniste, Christian Garrick, et deux solides accompagnateurs, Dave Kelbie à la guitar et Andy Crowdy à la contrebasse.
Le défaut couramment recontré chez les guitarists de style manouche, consistant à jouer trop vite, à faire beaucoup de notes au lieu d’articuler leur discours en le faisant respirer, ne se retrouve que très peu chez Angelo Debarre, tant dans son jeu personnel que dans les tempos adoptés.
Speevy, sur un tempo medium ideal, constitue le sommet du disque, mais le swing est aussi à son maximum dans bon nombre d’autres morceaux: Limehouse Blues. Artillerie lourde, Impromptu et Féerie notamment.
Au violin, Christian garrick se révèle un disciple direct de Stéphane Grappelli. Il singue avec vigueur, tandis que sa superbe sonorité lui permet de mettre remarquablement en valeur les ballades, en particulier My serenade, Vamp, le célèbre Lentement mademoiselle joué avec beaucoup de retenue, et les plus mélancoliques Fantasie et Boléro.
En definitive, un seul morceau, Django’s Tiger, m’a paru inférieur dans cet excellent recueil.
B. Siek (verified owner) –
A fantastic new “find” for me the “Debarre Quartet.” I’m playing this CD around the clock.
Masters at what they do. Highly recommended.